Choisir de se faire accompagner, ce n’est pas rien : cela témoigne d’une première disposition au changement.
Alors si vous lisez cet article suite au mail de premier rendez-vous : bravo !
Bientôt, nous allons nous rencontrer, je vais alors vous questionner, vous écouter et réfléchir avec vous à votre problématique et à vos objectifs.
Mon rôle sera ensuite de vous proposer différentes expériences permettant de faciliter l’atteinte de votre objectif et de vous aider à fabriquer ces expériences à l’aide de l’hypnose.
Mais avant, je vous propose de lire ces trois points qui me semblent capitales pour commencer un accompagnement dans de bonnes conditions.
1. Votre implication est nécessaire pour bien avancer !
Je ne suis pas un magicien et l’hypnose n’est pas un coup de baguette qui vous change malgré vous-même.
Parfois on va très vite pour régler une problématique, parfois cela met un peu plus de temps mais dans tous les cas : cela se fait avec votre implication dans l’accompagnement.
2. L’hypnose n’est pas une « alternative »
Je vois souvent des personnes qui choisissent : le patch[1] ou l’hypnose (dans le cas de l’arrêt du tabac), le psychologue ou l’hypnothérapeute, etc.
L’hypnose a un champ d’action bien spécifique, elle ne s’oppose en rien à d’autres types de suivi. Au contraire : en tant qu’accompagnement non-médical, l’hypnose est complémentaire [2].
3. Je vous accompagne, vous décidez !
L’accompagnement est toujours une co-construction. C’est vous qui choisissez où nous allons.
Je vous fais des propositions d’accompagnement, je vous oriente, mais je ne vous force jamais !
Vous êtes toujours libre de décider si ce que nous faisons vous convient ou non.
À très bientôt,
Élie
[1] L’étude montre que l’addition de l’hypnose et du patch nicotinique permet plus grand bénéfice que l’hypnose ou le patch seul. Attention, je ne suis pas médecin, je vous invite donc à voir ce point avec un professionnel de santé qualifié. Cf. Carmody, Timothy P., Duncan, Carol, Simon, Joel A., Solkowitz, Sharon, Huggins, Joy, Lee, Sharon et Delucchi, Kevin, « Hypnosis for smoking cessation: a randomized trial », Nicotine & Tobacco Research: Official Journal of the Society for Research on Nicotine and Tobacco, vol. 10, n° 5, 2008, p. 811‑818.
[2] Je n’établis aucune prescription, aucun diagnostic médical. Tout procédé de guérison ou traitement curatif relève du seul exercice médical, réservé aux personnes titulaires d’un titre ou diplôme défini par les termes de la loi en vigueur.